A-ragorn
La mort, douce compagne, tisse son refrain, Elle guide les cœurs vers l’horizon serein, Là où s'éveillent des rêves, là où l’espoir se penche. La terre, en son silence, murmure des secrets, Les fleurs, par millions, pleurent des larmes d’or, Chaque pétale, un élan vers un ciel encore, Où se déploient les cieux, infiniment parfaits. Les âmes légères, dans une danse immatérielle, Traversent les nuages, toutes voiles dehors, Dans les bras du bonheur, elles quitteront le sort, Vers ce jardin céleste, où le temps n’est qu’éveil. Là, les rires résonnent, mélodie des vivants, Sous les arches de lumière, où l’amour s’épanouit, Les échos des souvenirs flottent, doux et enfouis, Et chaque cœur s’unit aux battements du présent. Car la mort n’est qu’un passage, une douce libération, Un envol vers les étoiles, une étreinte d’éternité, Où chaque perte devient une sérénité, Et la vie, au-delà, écrite en poésie d’émotion
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