Intelligente
33 ans
Irréelle
La mort est un cycle. On bâtit nos propres prisons, on forge nos barreaux dans les serments, les codes, les engagements. On érige les murs fait de désespérances et de limites qu'on s'impose, on occupe ces cellules, ces identités, en se persuadant qu'elles nous définissent. Je croyais pouvoir me libérer en éliminant ceux que je pensais être mes geôliers mais… Je crois que le cycle ne s'achèvera que si je trouve la volonté de renoncer.